Luc Fracheboud, propriétaire de La Bonne Franquette, Paris 18e
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Le propriétaire de La Bonne Franquette, Luc Fracheboud, s’est prêté au jeu de notre entretien décalé.
Votre café ou restaurant préféré ?
Le Cellier, rue des Victoires [Paris 9e, NDLR], qui est un bistrot à vin. La bouffe est bien, la sélection des vins aussi et le chef, Stéphane Pitré, est commerçant et sympa. Et puis, c’est en bas de chez moi.
Une boisson et un lieu ?
Pour la boisson, du beaujolais, et pour le lieu, en Haute-Savoie, c’est chez moi.
Votre dieu du CHR ?
Gaby Biscay, il est Meilleur ouvrier de France et aussi un ami intime. Il a d’ailleurs été second au Ritz notamment. C’est un homme qui a aidé beaucoup de gens.
Votre péché mignon ?
Le fromage, j’en mange tous les jours. Et la charcuterie. Avec une bonne baguette, je ne pourrais faire des repas qu’avec ça.
Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?
La partie administrative. Elle est beaucoup trop chronophage, c’est hallucinant.
La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?
C’était au début novembre, à l’atelier d’un copain. Un bon moment accompagné d’un crémant d’Alsace, puis d’une bière.