Entretien décalé avec Alexandre Lazareff

  • Temps de lecture : 1 min

Entrepreneur & écrivain

Votre café-restaurant fétiche ?

Caves Pétrissans, avenue Niel, pour le papa, la maman, le fils valeureux, le céleri rémoulade et les vins à prix caviste.

Une boisson et un lieu ?

La première bière au Refuge des Cosmiques en redescendant du mont Blanc.

Votre expérience culinaire la plus marquante ?

Un dîner au Cinq : pour la cuisine de Christian Le Squer qui a « des racines et des ailes », le doigté d’Éric Beaumard et les fleurs du palace.

Votre péché mignon le plus inavouable ?

Le baba au rhum, mais attention : pas coupé, au rhum vieux, bouteille sur table !

Ce qui vous porte sur les nerfs dans la profession ?

Les vins nature.

Votre dieu du CHR ?

Alain Passard. Toujours un coup d’avance. Toujours dans son restaurant.

La dernière fois que vous vous êtes laissé emporter par l’ivresse ?

L’ivresse qui fait mal, jamais. La douce ivresse, celle qui rend heureux, souvent. Jolis souvenirs de retours à vélo un peu zigzagants après un déjeuner au Petit Sommelier…

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